Collection Lesbiennes. Ma Belle-SUr Me Dévoile Ma Bisexuelle (2/7)
- Seule ma mère le savait, je suis coiffeuse et lesbienne ma chère Claudia, si tu le désir, je vais te montrer ce que je fais à ma clientèle.
Je crois que Claudia souhaite me faire passer un message, lequel, en attendant de tout comprendre, sa langue prenant possession de mon clito, je sens le début dune jouissance bien plus forte quà lordinaire monter en moi.
Suis-je moi aussi une lesbienne ?
Cest la question qui me vient au cerveau quand Claudia contre toute attente met sa langue sur mon clitoris.
Je suis surprise, mais ça a été si soudain que je suis subjuguée.
Lisolement de notre chambre et de savoir que mes s sont loin à cette heure me rend entièrement dépendante de ma belle-sur.
Quand souplement elle se retrouve au-dessus de moi, cest ma propre langue qui plonge vers sa bite.
Quest-ce que je dis ?
Sa bite, non, son clitoris que je navais pas vu mais qui est proéminent et ressemble à une petite bite.
Je sens une seconde mon clito et ma fente béante abandonnés.
- Suce mon clito Josy, je vais texpliquer.
Je suce, je lèche, je me fais sucer, je me fais lécher.
Je jouis surtout quand ses doigts pénètrent en moi.
Elle jouit quand mes doigts pénètrent en elle.
La chaleur commence à monter, je suis en eau, elle est en eau.
Nous nous lovons tout de même dans les bras lune de lautre.
Le temps de reprendre notre souffle et elle sépanche.
- Josy, tu viens de voir ma particularité physique, mon clitoris.
On dirait un petit sexe, quand je suis née, jai été à deux doigts dêtre déclaré garçon.
Il nen fut rien, je suis bien fille.
- Je comprends, ça ta traumatisé.
- Pas du tout, comme je te laie dit ma clientèle aime.
Tu verras jarriverais même à te le mettre dans ton vagin et te faire jouir comme ton mâle le ferait.
- Ça fait deux fois que tu parles de ta clientèle, de quoi veux-tu me parler.
- Jai plusieurs métiers, formation de coiffeuse, jai toujours été laffreux petit canard de notre famille.
Nul en math, jai bien essayé la compta, mais cétait pire.
Jai fait lécole de coiffures et jétais doué.
Cétait dans les moments où jai assuré que jétais lesbienne.
Maman seule le savait, Jacques lui ne la jamais su.
Quand tu as épousé mon frère et que tu lui as donné des petits s, surtout Benoît ton fils qui perpétue son nom, il a arrêté de me faire chier pour que je me marie.
- Coiffeuse, je le vois dans cette grande glace, même si nos ébats ont un peu dérangé la coiffure que tu mas faite.
Donc tu fais autre chose.
- Je rase et je taille des chattes.
- Ça aussi jai vu.
- Et tu as eu ce que je fais avec ma langue à certaines de mes clientes pour de jolies sommes dargent.
- Tu te gouines pour du fric, tu es une pute.
- Exact, ça me paye mon train de vie.
Si tu savais le nombre de bourges refoulées à Paris qui sont lesbiennes mais mariées pour plaire à leurs parents.
Si leurs familles connaissaient leur penchant, elles perdraient toutes estimes.
Elles se sont mariées, ont eu des s, mais je sais leur faire découvrir leurs penchants sexuels.
La première fois, cest gratis, mais dès la deuxième fois elles raquent.
- Si je comprends bien cette fois cétait gratuit, mais si nous recommençons je devrais raquer comme tu dis.
- Mon cur, depuis que tu es avec mon frère, je kiffe pour toi.
- Tu as vu que jétais lesbienne.
- Non, tu fais partie des femmes bi-sexuelles qui peuvent aimer la bite dun garçon ou la langue dune fille.
Elle aussi je les renifle.
Pour elle, cest du pareil au même pour toi ce sera gratuit, je te dis je tai kiffé et tu es ma belle-sur.
Je crois quil faut en rester là, jentends des cris ds, jusquà ce soir notre quiétude est terminée.
Nous nous donnons un dernier baisé, celant notre pacte damour, je lui montre par ce baiser que je suis prête à la suivre dans ces jeux lesbiens.
- Maman, comme tu es belle, papy nous a fait faire du manège.
- Vous avez été à luna-park, ils sont déjà ouverts.
- Non Josy, cest dans le centre commercial quil y a des hélicoptères, des chevaux et même une vache.
- Oui maman jai piloté un hélicoptère, je sais très bien faire, cest normal, je rentre à la grande école à la rentrée.
Lola restera à la maternelle, cest un bébé, elle nest capable que de monter sur la vache.
Je suis toujours émoustillée de ce que je viens de faire et surtout ce que jai aimé faire trompant par là même mon mari avec sa sur.
- Si vous voulez aller à la plage, je ne vous entends plus, sinon cest sieste jusquà ce soir.
Ça calme tout le monde, nous mangeons tranquillement sauf pur une histoire de pain, vite calmé.
Nous allons les coucher, surtout ici avec la chaleur, simplement recouverts dun petit slip.
Jacques se met dans son transat à lombre, très près de la fenêtre qui donne dans notre chambre.
Nous nous allongeons toutes les deux entièrement nues.
Claudia me prend dans ses bras et se contente dun gros baisé avant que nous aussi nous sombrions dans un profond sommeil.
- À la plage.
- Ouais, maman, jai ma bouée.
- Tu vois que tu es un bébé, je sais nager.
- Et ta sur apprendra cette année, arrête de lennuyer, tu vas rester au piquet jusquà notre retour.
Jai remis mon une pièce, cest demain que nous irons à notre tour faire des courses, beau-papa a tout prévu pour deux jours pour les repas.
- Ou vas-tu Josy ?
- Sur le sable à gauche.
- Hors de question, les s prenez le chemin à droite.
- Regarde ce panneau Claudia, il est marqué « Plage naturiste ».
- Et alors, quest-ce que cela fait ?
- Je me vois mal mexhiber nue surtout devant mes s.
- Les s et la nudité, allons-y il est hors de question que la moindre trace de maillot ne marque mon corps.
Tu vas voir comme ils vont aimer batifoler dans leau comme tu les as mis au monde.
Elle me fera tout faire, sur la plage réservée au naturiste, plusieurs familles avec des s tous à poils il va de soi.
Je dépose les jouets des s, jinstalle ma serviette, je massieds reculant le moment denlever mon maillot.
Célia enlève ceux de mes s.
- Allez jouer dans leau, regarder les petits copains que vous allez vous faire, on vous surveille.
Benoît semble ne pas se poser de questions encore moins Lola et en moins de temps quil le faut, je les vois senvoyer de leau avec deux garçons et une autre fille de leur âge.
Sans aucune pudeur, ma belle-sur défait le paréo quelle a noué autour de ses seins, elle savait ou elle venait elle est nue.
- Alors grosse bêtasse regarde tes s, javais raison, ouste enlève cette mocheté digne des années 60.
Je me lève pendant quelle sallonge sur le paréo quelle a étalé et sinstalle, les bras repliés sous elles, les jambes elles aussi repliés.
Jai une vue panoramique sur son sexe épilé et ce clitoris que jai aimé sucer.
Comment lorsquelle était nue la première fois ne lai-je pas vue, je devais refuser de regarder lintimité dune autre femme.
Maillot enlevé, je mempresse de mallonger me retournant sur le ventre montrant mes fesses au soleil et aux deux hommes aussi nus que je le suis qui remontent la plage semblant chercher leurs proies.
- Passez votre chemin bellâtre, ma minette nest pas pour vous.
Je vais te faire une confidence Josy, aucun homme ne ma pénétré à mon âge.
- Tu es vierge.
- Par le Zodiac oui, mais par des godes et des fistages avec mes clientes non.
- Tu te sers de gode.
- Oui, jen ai dans ma valise.
- Je parie que le terme fist tes inconnu !
- Tu penses vrai.
- Les femmes chez qui je vais pour les satisfaire contre rétribution aiment de nombreux jeux pervers.
Le fiste en fait parti.
Je les caresse avec mes doigts que jai enduits dhuile spéciale et jentre toute ma main dans leur vagin poignet compris.
- Quoi !
- Elles en font de même avec moi, je te ferais voir ça ce soir.
- Quoi !
- Tu ne vas pas mourir idiote avec tes deux accouchements naturels, je suis sûr que tu es assez large pour te faire fister.
Jusquà ou vais-je me laisser faire par ma belle-sur
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